Cette photo illustre l’amour et la sagesse transmises de génération à génération.
Trois générations sont représentées : Dd Urmdane, Gaya et … le preneur de la photo Yuva.
Di sbba yagui, awend awigh yiwn usfru. Ssemaghas « Afrux ».
Pour faciliter la lecture : t=th; u=ou, x=kh, c=ch, gh son dans « aghrum » (pain).
***** Afrux *****
Lulghd dafrux
Di tmurtiw
Farhn imawlaniw
Y luld wefrux
Di Tezuyin
Frhmt a tilmzyin
y luld wefrux
Di Tzuyin
Tighratin a tulawin
y luld wefrux
Tefrah tadart
Adyawi nchallah tudert
y luld wefrux
Trsed talwit
Tfejej a dunit
y luld wefrux
y3la g gheni
Yebwid tilleli
y luld lvaz
Ad ygmu dargaz
Nchallah a mumhraz
y luld yizem
Ismiss Gaya
Di la3naya n tadartiss
Ad yecvu ljdudiss
***** At y hrz rebbi ! *****
*** ad y seghzef rebbi l3mriss ***
Ce poème est dédié i lejdud ngh.
Je dédie ce poème à nos pères et à nos mères, en particulier i vava Mziane, i yma tvavurt, comme la rappelé récemment Na Fatima At Brahem : « la maison tvavurt a toujours été ouverte aux autres avec altruisme, générosité et empathie ».
Je dédie ce poème à Dd Urmdane, l’Algérien baroudeur, une valeur sûre de notre village.
Je dédie ce poème à Gaya, à sa joie de vivre et au bonheur qu’il a apporté à la famille.
Je dédie ce poème à tous les enfants du village : présents ou à venir.
Ce poème est dédié i lghaci ntzuyin (arac, tihdayin, tilawin, irgazen).
Ce poème t’es dédié cher lecteur : oui à toi qui lit ce message. N’oublie jamais, que toi aussi, tu es porteur du flambeau de l’amour et de la sagesse !
Ad yerhm rebbi lejdud ngh.
Appel à nos musicien-ne-s : quelqu’un-e pourrait-il/elle nous composer une chanson gaie inspirée de ce poème.